La Commission Européenne fait très fort. En effet, la quasi-totalité des organismes de protection des droits de l'Homme dénoncent ce projet comme une attaque directe à l'essence même de la vie privée (même les sénateurs français, c'est dire).
Une raison de plus (s'il en fallait) de se séparer très vite de cet organisation dictatoriale.
Alors, vous n'êtes toujours pas convaincu ?
L'intérêt géostratégique de l'Allemagne passera toujours avant celui de la France, tant que nous resterons dans l'Union Européenne. Macron va sans doute, encore une fois, se mettre à genoux devant l'Allemagne, et vendre les intérêts du pays au plus offrant (qui en l'occurrence n'offre rien du tout).
Et pendant ce temps-là, la Grande-Bretagne retrouve la capacité de décider de son propre avenir.
La ministre en plein exercice de provocation. No comment.
Non, ce qu'il fallait retenir de cet article, c'est ceci :
"Si l'âge pivot reste dans la loi, c'est non, c'est clair", a déclaré ce 9 janvier à l’AFP le chef de la CFDT, Laurent Berger.
D'abord, rien à battre que l'âge pivot soit abandonné. C'est la réforme au complet qu'il faut dénoncer et arrêter. Il s'agit en réalité d'une subtilité de langage : cette simple phrase fait passer Laurent Berger pour un opposant à la réforme, alors qu'il cible un point spécifique de cette réforme. Mais pourquoi cette ambiguïté ?
Je suis désolé d'en remettre une couche, mais il semble que cela soit nécessaire pour les durs de la feuille (et autres légumes contemplatifs) :
La Confédération Européenne des Syndicats finance ces syndicats. Autrement dit, l'Union Européenne finance ces syndicats. La même Union Européenne qui demande instamment à la France de poursuivre la réforme des retraites.
Laurent Berger est une ordure à la tête d'un syndicat qui n'oppose qu'une résistance de façade à la réforme des retraites. Il a tout intérêt à pourrir le mouvement social, afin de continuer à toucher ses subventions. Et même s'il s'agit de lui ici, les quatre autres sont à mettre dans le même panier.
Vous voulez vous opposer à cette réforme ? C'est très bien. Mais ne vous laissez pas manipuler par des corrompus et des menteurs.
Les informations sont disponibles publiquement sur des sites officiels. Il suffit d'être curieux et d'avoir un esprit critique.
La SNCF, nouvelle victime des eurobéats.
Mais j'en vois qui en doutent (encore!). Pour ceux-là, rien de tel qu'un peu de lecture. Le rapport COM(2012) 313 final dit ceci :
LE CONSEIL DE L’UNION EUROPÉENNE,
[...]
RECOMMANDE que la France s'attache, au cours de la période 2012-2013 :
[...]
- à poursuivre les efforts pour supprimer les restrictions injustifiées dans les professions et secteurs réglementés, notamment dans le secteur des services et du commerce de détail; à prendre de nouvelles mesures pour libéraliser les industries de réseau, notamment sur le marché de gros de l’électricité, pour développer les capacités d’interconnexion dans le domaine de l’énergie et pour faciliter l’arrivée de nouveaux opérateurs dans les secteurs du transport ferroviaire de marchandises et du transport international de voyageurs.
Voilà. C'est marqué noir sur blanc :
faciliter l’arrivée de nouveaux opérateurs dans les secteurs du transport ferroviaire de marchandises et du transport international de voyageurs.
Et au cas où vous n'auriez pas compris que la SNCF allait cesser d'être un service public, il suffit de voir qui a été choisie pour s'assurer de la rentabilité des gares en France.
PS: cet article de fond vous dira tout sur la privatisation du rail français.
Boris Johnson a réussi à obtenir que des élections législatives soient tenues le 12 décembre 2019. Les travaillistes vont les sentir passer, tels les misérables traîtres qu'ils sont, pour avoir tout fait et tout tenté afin de repousser voire annuler carrément le Brexit.
Dernière ligne droite avant la sortie !
Un exemple des conséquences des privatisations des services publics, avec ici la SNCF. On vole le citoyen en privatisant le service, on découpe le service en multiples entités, et on donne le tout au privé en prétextant que le public ne fonctionne pas.
Tout cela pour être en règle avec l'article 121 du TFUE qui fixe les GOPE, lesquelles demandes de privatiser les services publics.
Un accord de plus à dénoncer lorsque l'on sortira de l'UE !
Je n'ai pas lu l'étude en entier, mais pour mettre l'eau à la bouche, il faut savoir que l'Union Européenne coûte en moyenne 632 euros à chaque contribuable payant l'impôt sur le revenu.
Vous trouvez ça normal ? Ne venez pas vous plaindre de l'état des routes, des hopitaux, des chemins de fer, des écoles, etc.
Je rappelle que la Suisse ne fait pas partie de l'Union Européenne. Et pourtant l'UE continue de lui faire du chantage.
Cette fois, sous prétexte d'harmonisation du contrôle des armes à feu, les Suisses ont été contraints de voter un texte dont ils ne sont pas à l'origine, sous peine d'être exclu de l'espace Schengen (même si juridiquement l'UE et Schengen sont deux accords différents). Cela aurait eu des répercussions au niveau économique que le pays ne pouvait se permettre.
L'UE, cet espace de paix et d'échanges, où même les voisins doivent s'aligner sur une politique qu'ils n'ont pas choisi.
Des remarques pertinentes quant à l'impossible changement de l'Union Européenne.
Beaucoup de choses intéressantes, notamment dans l'intervention du sociologue en deuxième partie.
Par contre gros carton rouge sur le rôle de l'Union Européenne, et sur le flou artistique voire la tentative de manipulation quant au rôle supposément neutre de l'UE dans les privatisations. Les privatisations des services publics sont bien demandées par la Commission Européenne via les Grandes Orientations de Politique Economique chaque années. Et les pays doivent s'y tenir (Cf art 121 du TFUE).
Donc dire que l'UE reste neutre sur la forme que prennent les entreprises, c'est vraiment limite. Quand on est habitué aux recherches poussées effectuées par DATAGUEULE lors des autres épisodes, on peut légitimement se demander s'il n'y a pas eu cette fois une volonté délibérée de passer sous silence le rôle déterminant de l'UE dans les privatisations.
Le Brexit est repoussé au 31 octobre 2019.
Pourtant, si les rebondissements et surprises donnent l’apparence d’une insondable complexité, le fond de l’histoire peut se résumer très simplement : les électeurs anglais se sont majoritairement exprimés pour sortir, mais une majorité de leurs députés était d’avis inverse. Et une partie de ceux-là ne rêvent que de remettre en cause le verdict populaire.
En tout cas, la priorité des chefs d’Etat et de gouvernement, comme de Bruxelles, a d’emblée été de tout faire pour « pourrir la vie » des Britanniques afin de dissuader d’autres peuples d’emprunter la même voie. Un peu comme quand un membre veut sortir de la secte : celle-ci n’hésite pas à employer tous les moyens pour le « punir » (menaces, chantage, attaques…) et dissuader ainsi d’autres velléités.
Ça donne vraiment des frissons d'entendre Ulrike Beate parler de la nécessité de "déconstruire les peuples" afin de rendre l'Union Européenne plus démocratique et républicaine. Et elle dit ça tout à fait naturellement.
L'idée européenne est un dogme dont il faut se libérer au plus vite.
Très bon article dénonçant la main-mise allemande sur l'Union Euroméenne, et les conséquences directes en termes de conditions de travail et de vie pour les travailleurs. La collaboration éhontée et la stratégie de la défaite de la grande bourgeoisie française est aussi évoquée.
Tous ensemble, sortons de cet euro-merdier !
Sur demande expresse de la Commission Européenne !
Intermarché et E.Leclerc se sont entendus pour mettre en place un prix plancher pour l'achat du kilo de porc aux éleveurs. Bien mal leur a pris ! Bruxelles considère en effet qu'il s'agit d'une entente malhonnête qui lèse les pays tiers.
Autrement dit, Bruxelles considère que :
Bref. L'Union Européenne dans sa grande oeuvre.
Des milliers d'emplois supprimés, un carnage industriel, une perte de souveraineté stratégique. Telles sont les conséquences attendues de la fusion d'Alstom avec Siemens.
Le carnet de commande d’Alstom est plein et l’activité est pérenne. Rien ne justifie une telle décision qui soumettrait un peu plus notre appareil industriel à celui de l’Allemagne. La Chine n’est qu’un épouvantail pour mieux faire passer un énième renoncement de nos élites. Si on veut contrer la Chine, alors c’est un protectionnisme européen qu’il faut mettre en place, et ne pas accepter la loi de la jungle du libre-échange généralisé. Sur ce dossier, comme sur tant d’autres, le gouvernement fait fausse route.
Ah ah ah. Un protectionnisme européen. Elle est bien bonne. L'auteur n'est sans doute pas au fait de la raison d'être de l'Union Européenne, qui est d'abord et avant tout une union économique. Pour mettre en place du protectionnisme, il n'existe qu'une seule solution.
Sans parler de la vente des bijoux de famille par lesdites élites.